Et elle est à moitié française.
Chronique parue sur Qobuz le 19 avril 2019
Aaliyah, Destiny’s Child, Brandy, Christina Aguilera et Lolo Zouaï. Ça ne sonnerait même pas faux. À tout juste 23 ans, la Franco-Américaine tape dans le mille avec un premier album qui brasse tous les éléments que la fin de la décennie 2010 apprécie : instru ouateuses pour chants R’n’B doux comme ce qu’elle considère sérieusement comme son alter-ego, le Pokémon Rondoudou qui a le pouvoir d’endormir les gens grâce à sa chanson.
Pourtant High Highs to Low Lows réveille les corps : impossible, à la fin de ces douze titres produits par le producteur new-yorkais Stelios (A$AP Ferg, Donmonique), de ne pas retenter la lecture complète tant l’album se consomme comme une sucrerie. Mélodies impeccables, visuels léchés, forte personnalité branchée mode et réseaux sociaux, Lolo Zouaï c’est tout un projet global qui séduit de plus en plus de monde, au point qu’on la rangerait volontiers dans la catégorie nouveaux espoirs R’n’B, aux côtés de Ta-Ra et S4U.
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Lolo Zouaï – High Highs to Low Lows, sorti le 19 avril 2019
La Pieuvre 
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