Avec l’équipe de la programmation, retour sur la trajectoire d’un festival que certains nomment le Coachella français.
C’est le moment de l’année où sur les terrasses de café on se pose la question : « Et toi, t’as pris ta place pour le We Love Green ? » Parce que c’est bientôt, la huitième édition le 1er et 2 juin 2019 au Bois de Vincennes avec une programmation les deux pieds plantés dans le présent : Laurent Garnier, SebastiAn, Tame Impala, Future, Erykah Badu, Lolo Zouaï, Rosalía, Marie Davidson, Ricardo Villalobos, FKA Twigs et même Booba et Aya Nakamura… Un line-up que l’on doit une nouvelle fois – en partie – à Clément Mayere, programmateur du festival depuis 2014, et Julia Lemaire, fraîchement arrivée dans l’équipe. Il m’a semblé qu’il faille faire le point sur ce monstre qu’est en train de devenir le We Love Green Festival, lui qui rivalise aujourd’hui avec les plus célèbres rassemblements musicaux de la planète et dont certains osent la comparaison avec Coachella. Mais avant de parler du futur, on va revenir ensemble sur la trajectoire qu’il a pris depuis ses débuts en 2011 au Parc de Bagatelle, que ce soit en terme de programmation, de fréquentation, d’engagement environnemental, de hype ou d’impact sur le paysage musical français.
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